mardi 12 février 2008

L'heure du crime

L'heure du crime de David Baldacci est paru chez Pocket en 2007.

Dans une petite ville de Virginie-Occidentale, les habitants sont en émoi : le cadavre d'une femme vient d'être découvert au fond des bois.
Dépêchés sur les lieux, les détectives King et Maxwell remarquent alors un détail d'importance :une montre Zodiac au poignet de la victime. Elément d'autant plus troublant que le criminel qui utilisait cette signature sévissait dans les années 1960... Dès lors, les crimes s'enchaînent. Quand deux adolescents sont tués à bout portant et qu'une quatrième victime est massacrée à l'arme blanche, le doute n'est plus permis : un serial killer plagiaire a entrepris de reproduire les meurtres de tueurs en série célèbres...

J'avais déjà lu deux romans policiers de Baldacci, l'un mettant en scène King et Maxwell et l'autre, des personnages différents. J'avais adoré le premier et un peu moins le deuxième. L'heure du crime, c'est absolument génial, j'ai adoré, c'est vraiment bien !!!! J'ai pas pu lâcher le livre après avoir lu le premier tiers, ça faisait longtemps que j'avais pas lu un livre si prenant, avec une intrigue fantastiquement bien tournée et un écriture très efficace (je sais pas exactement comment une écriture peut être efficace, mais j'avais envie) ! Il faut vous ruer sur ce livre, c'est du même niveau que Robert Crais, c'est pour dire comme c'est bien !!! Voilà, maintenant vous le savez, je trompe Robert avec David ! :$

6 commentaires:

Bedlam a dit…

une écrite efficace, ça se dit. ça ne peut pas s'expliquer mais ça se dit et chacun l'interprète à sa manière.

Il date ce livre ? Parce qu'on dirait vraiment l'histoire du film "Copycat" (passablement bon au demeurant).

Chouchou a dit…

Non j'ai regardé le synopsis de copycat, ça n'a rien à voir du tout du tout!
et pour l'écrite efficace, interprétez comme vous voulez, démerdez vous!

Filandrune a dit…

quelle salope

Chouchou a dit…

Et la politesse dans tout ça?

Filandrune a dit…

ben on l'encule

Chouchou a dit…

Hé la vieille au fond, tu fermes ta gueule ou j't'encule !